Général

[apres que le capitaine soit partit il se dirige vers la salle d'equipement]

[le policier quitte le commisariat. Il porte par-dessus son uniforme un gilet pare balle et un fusil est sanglé à son epaule]

La radio de la police grésille:

" Ici l'agent Fallmack, je me trouve au lotissement A de Sellington, il y a un vol de voiture en cours, le suspect est armé d'un fusil d'épaule dont j'ignore pour l'instant le model, venez !!"

(HJ: avant d'arriver sur place, comptez 10 minutes)

[il entre dans le commisariat en courant et fait signe au standardiste]

on a besoin des clés du bagnoles! On doit aller rapidement à selington! faut qu'on se grouille!

[il gromelle quelque chose avant se sortir en courant]

Le flic a la reception s'apprete a formuler une réponse quand une voix colérique se fait entendre a l'autre bout de la pièce, c'est le Capitaine Clarence Bomzeder qui s'adresse directement a Litoral sur un ton aigri.

-Retournez patrouiller bordel de merde, j'veux que vous me chopiez impérativement ces deux zigotos, ou a défaut vous les localisez et vous passez un appel, demerdez vous.

Il reporte son attention sur Rico endormi comme une merde sur une chaise, elevant assez la voix pour le reveiller.

-Et ca vaut aussi pour toi branleur va...

[Quand le chef vient à leur encontre Rico est toujours enformi mais il s'extirpe de son sommeil grâce à son chef et se met aussitôt au garde à vous,puis il se met au repos et demande à son chef:]

Chef, avons-nous autre chose qui puisse identifier le véhicule des deux criminels à part la marque et le type de voiture?
[il regarde un instant son chef et porte son attention sur son collègue et il le regarde attentivement et sourit puis lui dit]
Alors de retour parmi les vivants?
[il tape du poing droit dans la paume de sa main gauche et il dit à haute voix]
Allez j'suis prêt à casser du char!
[Il dégaine son glock retire la sécurité et se met en position de combat pour voir s'il n'y avait pas la moindre crasse sur l'arme et constatant qu'il n'y en avait pas alors il se mit en position de repos et attendit son collègue]

Le capitaine gromelle a l'intention de Rico tout en se dirigeant vers son bureau, une pile de dossiers à la main:

-C'est vous qui l'avez vue de près cette foutue bagnole, pas moi

Avant de rentrer dans son bureau et de refermer la porte en la faisant claquer, de mauvaise humeur le gars...

[il regarda le capitaine d'un air pensif et ne sachant que faire car il ne voulait pas se contenter de la réponse du chef il se dirigea vers le chargé d'accueil qui était là à se tourner les pouces et il lui parla sincérement]

En fait je voulais savoir si tu avais des nouvelles de l'interrogatoire du mec qui s'est fait chourré sa bagnole!
A-t-on au moins sa plaque ou il ne s'en souvient pas car il est sous le choc?

L'agent chargé de l'acceuil vous lance regard blasé à Rico, comme si sa seule presence l'emmerdait.
-Depuis l'incident le type s'est cloitré chez lui, il est dans un état dépressif et menace de se faire sauter la tete si on s'approche de lui.

[il écoute la réponse du chargé d'accueil et commence à faire grise mine puis se ravise et dit]

Merci de ce renseignement!
[il se dirige vers la sortie et avant d'enfoncer les portes du poste il se retourne et dit d'un ton normal avec une pointe de jovialité]
Bon j'vais recommencer à bosser à plus collègue!
[il lève sa main droite en signe de salut mais il ne se retourne pas puis il l'abaisse et enfonce les portes du poste avec son pied comme s'il voulait faire tomber les gonds et il s'avance lestement par la sortie ouverte et s'en va patrouiller dans les rues]

[Apres qu'une fusillade ai eclatée à l'exterieur un flic rentre, son fusil apuyé sur son epaule, sifflotant une melodie sentant bon la jamaïque, le reggae et le canabis]

Don't weary, be happy...

[Cette melodie s'elevant dans la piece remplie d'alcoliques en puissance, Danny s'approche de l'acceuil et s'adresse au flic faisant office de "secretaire"]

Le commisaire m'a dit de venir le voir.

[Les portes se dérobèrent sous le couip qu'avait infligé l'agent Rico aux portes et c'est d'un air à demi surpris qu'il entra dans le commissaiat et regarda ses collègues en train de bosser sur diverses affaires, alors il souria et vit Litoral à côté du chargé d'accueil et s'empressa de le rejoindre et lui dit]

Ha c'est dommage que tu n'aie pu assister à la fussillade d'hier à beluve hills encore un groupe de néo-nazi qui n'ont pas arrété de faire chier le monde!
[Il rigola un peu et repris]
T'es venu soutirer ton salaire?
[puis il s'adressa au chargé d'accueil qui avait toujours une gueule d'ahuri et lui dit]
Merci de m'avoir envoyé les "renfort" hier sans eux j'étais bon pour le casse-pipe!!
[il lui lança un clin d'oeil]

Le flic préposé à l'acceuil, visiblement occupé a classer plusieurs tas de paperasse, leve les yeux pour voir devant lui Litoral et Rico, il s'adresse à eux sur un ton plutot aigre, on voit qu'il a autre chose a foutre.

-Si c'est pour votre salaire, le commissaire vous attend dans son bureau.

[Il se dirige vers le bureau du commisaire d'un pas tranquille avant de frapper puis de pousser la porte]

[Rico attrapa l'enveloppe et regarda dedans puis il la rangea dans une de ses nombreuses poches de son uniforme et se mit au garde à vous devant son chef puis il se mit au repos et il dit à son chef]

Merci chef, nous ferons ce qu'on peux pour les arrestations!
[et il souria et regarda Krokettstigger et il lui fit une tape amicale dans le dos et lui murmura]
C'était de la légitime défense et de toute façon ce mec on l'aurait relaché et il aurait continué à faire son bordel,tu as très bien fait!
[il éleva la voix]
Je vais patrouiller dans le secteur de Downtown street!
[Il arma son glock 17 et ôta le cran de sécurité puis il dit à ses collègues]
Qui veut aller patrouiller avec moi?

[L'envelope est rapidement dechirée et les quelques billets rejoignent rapidement la poche du flic. Il se tourne ensuite vers son collegue et lui lance un leger sourire]

Bon, et bien allons y.

[Il pose de nouveau son fusil sur son epaule et sort du commisariat en sifflotant de nouveau la melodie agaçante qui avait envahit la piece à son arivée]

[Rico alla rejoindre son collègue et partit d'un pas tranquille et poussa les portes du commisariat]